Je vous aime, Adieu

Et oui je me suis remise à écrire, et oui encore une fois j'ai fait une chose que personne n'immaginait que je soit capable de faire, et oui c'est la dernière fois que je le fait ! Non je plaisante mais ça me coûte d'écrire ce genre de chose parce que je trouve toujours que j'ai fait de la m**** vu que je suis pas aussi passionné que pour d'autres. Je sais je parle en enigme mais c'est pour pas dévoiler de suite l'histoire de cette song fic !
Enfin bref je vous laisse apprécier et me dire ce que vous en pensez !





Brennan se leva tôt se matin là. Il se dirigea lentement vers la cuisine, où il eut la surprise de ne voir personne. Il alla donc au salon et vit alors une feuille de papier poser sur le piano. D’autant plus surpris qu’elle n’était pas là hier, il s’en approcha et la prit, la dépliant pour la lire. Il dût reprendre plusieurs fois les mots couchés sur la feuille pour être sur d’avoir tout saisie.

Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés
Quatre c'est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?

Jesse se leva à son tour quelques heures plus tard, et constata le calme régnait dans la maison malgré l’heure tardive. Il alla dans la cuisine, constata qu’elle était vide, et fit le même constat pour le salon, et les chambres. Alors qu’il allait se dire qu’ils avaient dût sortir, il trouva la feuille de papier, qui cette fois était froissé en boule, et traînait par terre. Il la prit et la déplia pour la lire à son tour. Tout comme Brennan avant lui, il dut relire deux trois fois les mots pour les comprendre. Les assimilants enfin, il se jeta dans la chambre d’Emma qu’il retrouva vide. Les armoires grandes ouvertes étaient vides, et la photo de l’équipe avait disparut. Il alla ensuite dans la chambre de Brennan, vide également. Les affaires étaient là, mais le cadre présent sur la table de nuit était vide, et prouvait une chose : il ne reviendrais pas non plus.

Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer

Il retourna alors machinalement dans la chambre d’Emma, et s’asseya sur le lit, pour réfléchir, repenser à leur passé, à hier, à avant… Cela faisait quatre ans qu’ils avaient une mission assez particulière, quatre ans qu’ils vivaient uniquement tout les trois, quatre ans que leur vision du monde avaient changer et qu’ils c’étaient retrouver dans une situation qui, il le savais, n’aurais pas pût se terminer autrement. Quatre ans qu’ils c’étaient embarqué dans cette histoire, dans le plus grand secret, sans jamais en dire un mot à Shalimar ou Adam… Shal qui se plaignait tout le temps qu’ils lui manquaient, qu’elle avait besoin d’eux… elle ne se doutait pas que derrière leur sourire, ici le paradis avaient tourné à l’enfer.
Emma… sa douce Emma… Jesse c’était rendu compte bien trop tard que chacun de ses sourires, chacun de ses gestes… il ne les aimait plus comme les aimerait un ami, mais comme les aimaient un amant… amant qu’il n’était pas. Au départ, tout les trois étaient si heureux. Brennan et lui étaient deux frères que rien ne pouvait séparer, Emma était leur amie, leur petite soeur… Et puis soudain elle était devenue, presque sans qu’il le remarque, la femme qu’il avait voulue à lui. Il avait tenter de la séduire nombre de fois, mais elle l’avais toujours repousser en douceur… La douceur, Emma était toujours si douce, si belle, si attachante et si profondément aimante. Ce n’était que trop tard encore une fois qu’il avait compris pourquoi elle le repoussait : parce qu’il n’était pas le seul à la désirer autant. Pourquoi Brennan l’avait-il trahi ainsi ? Pourquoi l’avait-il convoiter aussi fort lui aussi ? Et qu’est-ce qu’il avait de plus pour qu’elle rit en sa compagnie, plus qu’en la sienne. Alors en secret, il avait continuer de l’aimer, de lui vouer toute sa vie, sa force, son engagement. Même s’il c’était promis de ne pas faire attention aux sourires et aux yeux doux qu’ils se lançaient avec Brennan, il ne pouvait s’empêcher de les voir et d’en être dévoré de jalousie. Bien sûr, il était conscient que les sourires et les regards, ils s’échangeait aussi entre elle et lui, mais il avait toujours l’impression qu’ils étaient moindre… Pourquoi ?

Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on jamais assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s'est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences

Pourtant il aurait tellement fait pour elle, il aurais donné sa vie, son cœur, son âme, pourvue qu’elle ne le laisse ne serais-ce que la toucher, l’embrasser sur le bord des lèvres une unique fois qui sais ? Elle n’aurait juste que poser ses yeux sur lui avec tout un amour caché qu’il aurait été le plus heureux des hommes. Mais non, il n’y avait pas d’amour caché, secret, il n’y avait qu’une profonde amitié qu’elle ne voulais pas changer, ou une sorte d’amour qu’elle partageait entre eux deux. Qu’avait-il de plus que lui ? Qu’avait le matériel electrique pour qu’elle ne puisse pas le choisir lui, et uniquement lui ?

Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez ?

Emma marchait dans les rues depuis des heures, depuis le lever du soleil à vrai dire. Elle avait eut du mal à partir, trop de mal, mais le soleil venant éclairer le salon, venant éclairer une fois de plus la réalité de leur enfer, elle avait décidé de fuir. Elle avait poser ses mots d’adieu sur le piano, et était partit sans de retourner. Si elle c’était retourner vers le salon, vers le canapé où ils avaient passé tellement de temps à se chercher et à se chamailler tout les trois, vers le piano ou chacun apprenait à jouer un de ses morceaux préférés pour le lui chanter plus ou moins maladroitement, elle aurait craqué et serais rester… et ça elle savais qu’elle n’aurais pas sût le tenir encore une fois.
Pourquoi ne voulais-t-il pas comprendre ? Elle les aimait tellement tout les deux, et à cause de cette amour, elle était obligé de tout quitté, parce qu’il ne voulais pas la laisser les aimer tout les deux. Chacun d’eux… elle n’avait jamais sût choisir. Brennan… Jesse… Ils étaient si différent, et si semblable. Ils étaient tout ce qu’elle aimait chez un homme… mais ils étaient deux, et ils étaient jaloux l’un de l’autre.
Brennan était la « bête sauvage », « l’homme de muscle », celui qui vous protège et vous fait vibrer de peur et de plaisir… Celui qui vous emmène là où vous n’auriez jamais osé allé seule par peur, mais qui vous prenait par la main et vous disais qu’il se battrait contre quiconque vous chercherais d’un peu trop près.
Jesse était la douceur même, « l’ange calme et doux », celui qui vous préparait un dîné on ne peu plus romantique et qui n’oubliais jamais un anniversaire, ou qui trouvais tout les jours une raison de vous écrire une chanson ou un poème des plus touchants, même si parfois maladroit. Celui qui ne regardait aucune autre femme, même quand il n’était pas en votre compagnie, simplement parce que s’il vous aimaient, vous étiez la plus belle et la seule qui valait la peine d’être regardé.
Ensemble, ils formaient le tout qu’elle recherchait depuis si longtemps, ils étaient son âme sœur… A eux deux et pas autrement.
Pourquoi avait-il fallait qu’il l’oblige à choisir ? Elle ne voulais pas… ne pouvait pas choisir. En choisir un, c’était trahir l’autre… c’était trahir une partie de son âme sœur, donc une partie d’elle-même.

Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouiez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamné à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir

Dans la maison, une sonnerie retentit dans le salon. Personne ne chercha à la couper. Elle continua encore pour finir sur un répondeur :

Bonjour vous êtes bien chez… nous ! Mais shht j’essaye de faire un message sérieux là ! Oui mais t’enregistre Emma alors arrêtes de raconter ta vie ! Je sais mais tait toi un peu et dit à Bren de se taire aussi avec c’est « nous ». Donc vous êtes bien chez Emma, Jesse et Brennan ! Et on est pas là pour le moment ! Mais si vous rappelez plus tard vous nous aurez peut être… mais pas sur ! (petit rire d’Emma) Sinon vous laissez un message après le BIP et nous on vous rappel !

- Les gars c’est Shalimar ! Vous êtes où ? Allez debout là dedans faut que je vous parle ! Bon vous êtes pas là on dirais ! Appelez moi dès que vous aurez ce message j’ai un mauvais présentiment ! Les garçons… Emma s’il vous plait rappelez moi… j’ai l’impression qu’il c’est passé quelque chose de grave… j’espère vous revoir… bientôt je veux dire…

Personne ne vint lire le message se jour là, ni le lendemain, ni le surlendemain, et pendant lontemps, on peut voir par la fenêtre la numéro 1 clignoter sur le répondeur, et une feuille froisser mais déplier trainer par terre. Une feuille qui était juste à côté du piano, et sur laquelle quatre mots étaient marqué avec une encre noire, et une écriture fine et ronde :

« Je vous aime,
Adieu »

Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer

Original!J'adore!

oups ma puce j'avais loupé cette superbe fic!! j'ai adoré, c'est touchant émouvant, c'est beau bien écrit y'a rien à dire enfin si j'en veux encore